Si la poésie est une maladie,
Alors qu’elle m’envahisse tout entier,
Qu’elle coule dans mes veines comme un feu doux,
Et qu’elle consume mon âme sans pitié.
Qu’elle me prenne les nuits, les jours,
Qu’elle m’arrache le sommeil et la paix,
Qu’elle m’étreigne dans ses bras de velours,
Et que si la poésie est une maladie, que j’en meure.
Si la poésie est une maladie,
Alors qu’elle m’envahisse tout entier,
Qu’elle coule dans mes veines comme un feu doux,
Et qu’elle consume mon âme sans pitié.
Qu’elle me prenne les nuits, les jours,
Qu’elle m’arrache le sommeil et la paix,
Qu’elle m’étreigne dans ses bras de velours,
Et qu’elle m’emporte, sans jamais de retour.
Si écrire est une fièvre, je veux brûler,
Si rimer est folie, alors je suis perdu,
Mais dans cette démence sacrée,
Je trouve une vérité que nul n’a jamais eue.
Je préfère mourir d’un vers malicieux.
Que de vivre sans un mot sincère,
Car chaque strophe est un battement précieux.
Dans ce cœur usé mais fier.
Si la poésie est un poison lent,
Alors verse-la goutte à goutte sur mes lèvres,
Et que je m’éteigne doucement.
Sur l’autel d’un mot, d’un soupir, d’un rêve. Elle m’emporte, sans jamais de retour.
Si écrire est une fièvre, je veux brûler,
Si rimer est folie, alors je suis perdu,
Mais dans cette démence sacrée,
Je trouve une vérité que nul n’a jamais eue.
Je préfère mourir d’un vers malicieux.
Que de vivre sans un mot sincère,
Car chaque strophe est un battement précieux.
Dans ce cœur usé mais fier.
Si la poésie est un poison lent,
Alors verse-la goutte à goutte sur mes lèvres,
Et que je m’éteigne doucement.
Sur l’autel d’un mot, d’un soupir, d’un rêve.
Peter Rice