La détermination, c’est ce feu intérieur, qui brûle sans bruit, mais éclaire sans peur. C’est l’élan qui revient quand tout semble perdu, La voix qui murmure : « Tu n’as pas encore tout vu. »
C’est marcher dans l’ombre avec le cœur en flamme, graver ses rêves même quand le monde condamne. C’est tomber cent fois, et se relever cent une, C’est défier les tempêtes, même sans fortune.
La détermination ne crie pas, elle agit. Elle ne cherche pas l’écho, mais le fruit. C’est l’art de croire quand plus rien ne rassure, de bâtir l’avenir sur des pierres trop dures.
Elle est dans chaque pas, chaque souffle, chaque choix, Dans le regard qui dit : « Je tiendrai, quoi qu’il en soit. » Et quand le doute s’installe, elle devient lumière, car elle sait que l’échec n’est qu’un passage éphémère.
Alors avance, même lentement, mais sans détour. Car la détermination, c’est l’autre nom de l’amour. L’amour de ce que tu veux, de ce que tu es, Et de ce que tu deviendras, si tu n’abandonnes jamais.
— Peter Rice